LIVRE ARDECHE - Les fleurs de la nuit

« Les fleurs de la nuit », de Gérard René Evrard
Un hommage aux personnels soignants.

Au moment où se déversaient des tonnes de bombes sur l’Irak, dont on sait aujourd’hui qu’elles firent 120 000 victimes civiles, hommes, femmes et enfants, j’étais hospitalisé à Lyon. Entre l’ennui, la télévision et les soins, je regardais le paysage au travers des larges baies vitrées. En projetant mon regard sur l’horizon lointain, je cherchais désespérément mon Ardèche. En vain. Puis, ne voyant pas ma montagne, ni celle du Coiron, ni le Tanargue, de mon septième étage, j’auscultai la ville. Et là, j’y découvris les « fleurs de mes nuit ». Mais qui sont-elles ?

C’est ainsi que m’est venue l’idée d’écrire ce roman : « Les fleurs de la nuit ». Achevé au cours de l’année 2007, il fut édité pour la première fois en 2008. A compte d’auteur, il ne reçut pas, comme chacun sait, l’écho auquel il pouvait prétendre. A l’invitation de quelques amis qui se plurent à sa lecture, j’ai décidé de rééditer ce roman en auto édition.

Au travers de ses 260 pages, je voulus rendre hommage aux personnels soignants, sans excepter ceux qui, à longueur de lassitude, doivent supporter les désagréments et les humeurs des patients. Je n’oubliai personne, pas même le médecin praticien, pas même la jolie et savoureuse infirmière, pas même les dévouées aides-soignantes, pas même mon voisin de chambrée, exigent et râleur, mais si profondément ardéchois que je ne pouvais l’ignorer.

En raison de la conjoncture, ainsi que de la désespérance de ma situation, il fallait utiliser tantôt la gravité, tantôt l’humour, en alternance avec mes habituels coups de gueule, le tout conjugué à une once de romantisme, et à quelques touches de poétique.

Il paraît, à croire les échos que je reçus, que ce roman satisfait pleinement le lectorat.

« Les fleurs de la nuit » est en vente dans toutes les bonnes librairies d’Aubenas, mais aussi chez l’auteur, joignable par mail : gr.evrard@orange.fr


L’auteur : Gérard René Evrard (demeure à Vals-les-Bains)

Métallurgiste de formation professionnelle, ouvrier hautement qualifié avant de devenir technicien de fonderie, Gérard René Evrard, à l’âge de trente neuf ans, s’engage dans diverses formations professionnelles et universitaires (DEFA, DESSEUR, DEPS, formation de directeur de MJC, d’animateur de formations, et est invité à poursuivre son cursus et à intégrer l’UNESCO. Mais…Son amour de l’Ardèche le conduit à démissionner de tous ces trompe-l’œil de la vie, pour privilégier une installation qu’il veut rapide en Ardèche méridionale, département qu’il affectionne particulièrement, tant par la splendeur que par la diversité de ses paysages.